AMC
(Placez le curseur sur les images pour faire apparaitre les légendes)
OBSERVATION MICROSCOPIQUE DE FERMENTATION : KOMBUCHA ET KEFIR.
Echantillon n°1 :
Bout de moisissure contenu sur une cellulose de 1 an. Beaucoup de bactéries en bâtonnets simples, rares formes de filaments de champigon.
Echantillon n°2 : Grain de kéfir de figue. Grande conscentration de levures à l’aspect gonflé à cause de l’eau (les levures se gorgent d’eau) Moins de bactéries.
Echantillon n°3 : Kéfir de figue. Cristaux d’origine inconnue accompagnés de quelques bactéries.
Echantillon n°4 : Kombucha de 1 an (liquide). Moins de 10000 bactéries/cl, il y en a très peu. Presque vide au niveau des bactéries. Vie incertaine. Mais reste quelques levures.
les microscopes
Mesure du pH des échantillons par pHmètre
Avant toute mesure, penser à calibrer l’appareil avec un liquide de pH neutre (7 pH) !
Echantillon Kombucha de 1 an : 2.21pH.
pH proche de celui du citron (~2pH). Plus la kombucha est âgée, plus elle est acide. Mais l’acidité force l’arrêt du métabolisme, les levures entrent en dormance et se déposent sur le fond.
Echantillon kéfir de figue : 3.81pH. Il est donc moins acide que la kombucha.
OBSERVATION TAMBOUR :
PB : A partir des instruments de musique de l’année dernière, comment optimiser leur efficacité et leur durée.
Comment pouvons-nous, à partir d’anciens modèles comprendre et optimiser la « peau de kombucha » des percussions et ces autres matériaux.
Nous avons 4 prototypes de percussion en kombucha datant de l’année 2022. Nous essayons de trouver une solution au problème présenté.
Au niveau du son : sur les 4, nous en avons 1 qui résonne assez bien avec un bruit grave ; Le deuxième résonne d’un son aigüe mais faible car la cellulose de kombucha utilisée est trop fine; Le troisième est un tambourin à 2 faces (hochet tambourin ou taogu) qui possède une face déchirée (n’a pas supporté le choc des perles/boules). Le quatrième n’est pas concluant car la cellulose de kombucha est trop épais. La solution serait de faire sécher directement la cellulose (pas trop épaisse ni trop fine) sur le support, de préférence en bois pour une meilleur résonnance. Tel un moulage, le kombucha imprégnera la forme du support. Il faut impérativement le traiter pour qu’il ne se transforme pas en “chips”. Les traitements possibles sont à base d’huile de lin, cire d’abeille et térébenthine (aussi utiliser pour le traitement du bois). Ou un traitement à la glycérine.
MISE EN CULTURE : kombucha et café
Test de mise en culture de kombucha au café.
L’expérimentation vise à savoir si la cellulose de kombucha peut se développer dans milieu mixte à base de thé et de café.
Ingrédients :
25cl de café
50cl de starter (kombucha)
Cellulose (kombucha)
1 sucre
En premier temps, produire au moins 25cl de café puis ajouter le sucre. Laisser refroidir.
Une fois le café froid, ajouter les 50cl de starter et un bout de cellulose de celui ci.
Couvrir avec un tissus afin de protéger la culture tout en la laissant respirer.
Poser la culture dans une chambre de fermentation chauffée à bonne température et laisser reposer.
OBSERVATION DE LA CHLORELLE
La chlorelle est une micro-algue qui, grâce à la photosynthèse, produit de l’oxygène en journée et respire la nuit.
La photosynthèse est possible grâce à ses pigments vert appelé la chlorophylle présente dans les chloroplastes des cellules du végétaux.
Nous avons observé cette algue au microscope, dont voici quelques images :
Schéma V2
schéma sur le processus de fermentation de la kombucha.
Production finale : Fanzine
Fansine à propos de nos observations au microscope des échantillons de kombucha, kéfir et chlorelle.
-8 pages + poster
-Impression risographie
-Reliure avec agrafe